lundi 18 octobre 2010

Grand bazar du 18





















































Colette a fouillé dans son gros stock de photos !! Au final, un vrac de choses, d'endroits et de couleurs .


Le bazar du 18 octobre en dit beaucoup sur Colette !










2 commentaires:

  1. Il est magnifique ton bazar... Et ces juxtapositions sont sublimes !

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  2. Je passais par là, ça tombait à pic. Il ne m'a pas fallu 5 minutes pour m'écrier "Bon sang, mais c'est bien sûr !".
    Je ne vais pas, chers téléspectateurs, vous laissez plus longtemps, dans l'expectative.
    En fait c'est très simple.
    D'après un témoin, si l'hôtel Toulousain, où vit Colette semble miteux, c'est uniquement à cause de sa façade régulièrement taguée. Le propriétaire aurait baissé les bras, le jour où il a lu, "Tiens t'as repeint !", sur son crépi tout neuf.

    Petite, elle jouait à la poupée!
    A 11 ans, pour Noël, elle reçut une paire de skis. Malheureusement ce n'étaient pas les "Salomon" équipés des fixations "Rossignol" dont elle rêvait.
    Enfin... une fois sur les pistes, elle n'y pensa plus et en quelques années put se prendre pour ses idoles, Marielle Goitschel (à ne pas confondre avec sa sœur, un peu pimbêche), et surtout Jean Claude Killy, dont une photo découpée dans Téle7jours était fixée au dessus de son lit.
    En faisant la queue au tire-fesse, elle chantait à tue tête "Va douc'ment Killy c'est tout bon".
    C'est depuis cette époque qu'elle porte les cheveux courts, arbore des chapeaux de feutres des années 50 et fréquente les Salons de Coiffure masculins. Quand on l'appelle Monsieur, elle est aux anges.

    Sa famille est d'origine alsacienne, et ce n'est pas un hasard si elle a choisi comme emblème la Cigogne. Elle adore le Kouglof. Elle collectionne aussi les Nains de Jardin. Nous avons d'ailleurs fiché l'un d'eux, membre du FLNJ (Front de Libération des Nains de Jardins) qui semble s'être auto-dissous depuis.

    Dans une autre vie, elle était princesse. Pas de quoi l'envier. En 1789, elle en a vu de toutes les couleurs, croyez-moi.

    Nous la recherchons activement. La diffusion de son portrait robot n'a rien donné. Elle se cache vraisemblablement derrière des lunettes de soleil, et un grand chapeau de paille féminin.
    On l'aurait signalée en Espagne, mais la piste s'est arrêtée dans un couvent qui fut fouillé en vain.

    Pour résumer, signes particuliers : néant, excepté qu'elle aime les figues, comme des millions de personne.
    "Ah, Dupuy, du nouveau ?"
    "Elle est tranquillement en train de déguster le plat du jour dans un bar à vin Place Saint Étienne."
    "On file. Allo la Régie ? C'est Bourrel. Lancez le générique Arsenic Blues, ça les fera patienter jusqu'à mardi prochain".

    Aux dernières nouvelles, La Cigogne s'était envolée.
    Bon vent !

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